Fulcanelli à l'hôtel Lallemant, le caisson : chute du vase igné

 

Caisson 17, le vase igné chute de la gueule du lion.

 

Fulcanelli Hotel Lallemant caisson 17 vase au lien rompu.jpg (394249 octets)

 

 

Fulcanelli décrit ce caisson : "Voici maintenant un vase renversé, échappé, par rupture de lien, à la gueule d’un lion décoratif qui le tenait en équilibre : c’est une version originale du solve et coagula de Notre-Dame de Paris."

La photo de ce combat du garçon et de la fille est visible dans le chapitre sur Notre-Dame de Paris, façade ouest.

Le visage du lion est-il contenu d'abord dans la coupe ? Apparaît-il lors de la chute du vase, lors de sa destruction ? Ce vase est un travail de l'art. Il est plus spécialement un travail de l'art des orfèvres, du travail sur des métaux nobles, or, argent, pierrerie. Le lion, lui, est issu du travail de la nature. Peut-on voir là une opposition, une complémentarité plutôt, entre le travail de l'artiste et celui de la nature, l'un générant l'autre ? Dans les deux cas, travail de l'art ou travail de la nature, c'est un roi qui est l'objet du travail, qu'il soit roi des métaux, ou roi de la nature sauvage, le lion.

Ce caisson est le huitième à porter des flammes, depuis la porte d'entrée de la chapelle.

 

Retour à la page précédente

 

<>

phpMyVisites | Open source web analytics Statistics